Von 4:00 bis 9:00 Gewitter mit Sturzregen. Der Campingplatz hat sich in eine Seenplatte verwandelt und Sturm braust übers Meer. An Baden ist nicht zu denken, außer in der Dusche. Aber die Bachstelze hat Spaß.
Wir haben umgebucht und schippern heute nach Hirtshals. Dann hoffen wir auf weniger Regen und mehr Wärme als 11 Grad.
Noch ein Reisetag: ein sonniger. Meerspaziergang in Svinkløv. Kaffee im Badehotel am Meer, wie vor 30 Jahren. So teuer, dass „man“ unter sich bleibt. Wir baden noch immer nicht! Kühle oder besser kalte 16 Grad.
Das Ende: morgen Hannover.
Le lundi est le jour du voyage
De 4h00 à 9h00, orage avec pluie torrentielle. Le camping s’est transformé en lac et la tempête gronde sur la mer. Il n’est pas question de se baigner, sauf sous la douche. Mais la bergeronnette des ruisseaux s’amuse.
Nous avons changé de réservation et naviguons aujourd’hui vers Hirtshals. Nous espérons alors qu’il pleuvra moins et qu’il fera plus chaud que 11 degrés.
Encore un jour de voyage : un jour ensoleillé. Promenade en mer à Svinkløv. Café dans un hôtel balnéaire au bord de la mer, comme il y a 30 ans. Si cher que « l’on » reste entre soi. On ne se baigne toujours pas ! Frais ou plutôt froid 16 degrés. La fin : demain Hanovre.
Auf dem Weg weiter nach Süden bleibt der Supermarkt ein Highlight, ehe wir einen Campingplatz ansteuern. Bauernhof mit Hofladen und überwiegend schrägen Stellplätzen. Egal, wir stehen unter Apfelbäumen und vor Johannisbeeren. Es tropft von oben, 11 Grad, 3 Pullover übereinander, gewickelt in eine Decke mit Fischburger in der Hand, norwegisches Leben.
Was wir sehr viel gebraucht haben: Regenumhang, dicke Jacke, Kaschmirpullover, Handschuhe (hatten wir nicht dabei), zusätzlichen Schlafsack, Fließdecke, Socken und wasserfeste Schuhe, extra Heizung für die Abende im Bus.
Was wir kaum gebraucht haben: Sonnencreme, t-Shirt mit kurzem Arm, Sandalen oder Hängematte, Sommer Solar Lampen für laue Abende am Bus.
Was wir gar nicht gebraucht haben: Sommerkleid, weiße Hose, Badeanzug, Badeschuhe, Malzeug, Picknickdecke, Solaranlage, Creme after sun.
Samedi
En continuant vers le sud, le supermarché reste un point fort, avant que nous ne nous dirigions vers un camping. Une ferme avec un magasin à la ferme et des emplacements majoritairement en pente. Peu importe, nous sommes sous des pommiers et devant des groseilles. Il dégouline d’en haut, 11 degrés, 3 pulls superposés, enroulés dans une couverture avec un burger au poisson à la main, la vie norvégienne.
Ce dont nous avions beaucoup besoin : Cape de pluie, veste épaisse, pull en cachemire, gants (nous ne les avions pas), sac de couchage supplémentaire, couverture flottante, chaussettes et chaussures imperméables, chauffage supplémentaire pour les soirées dans le bus.
Ce dont nous avons à peine eu besoin : Crème solaire, t-shirt à manches courtes, sandales ou hamac, lampes solaires d’été pour les soirées chaudes dans le bus.
Ce dont nous n’avons pas du tout eu besoin : Robe d’été, pantalon blanc, maillot de bain, chaussures de bain, matériel de peinture, couverture de pique-nique, installation solaire, crème after sun.
Die Regentropfen zu zählen hat keinen Wert mehr. Es regnet ohn Unterlass.
Wir gehen frühstücken in einer charmanten Konditorei und treffen schon des morgens auf Damenriegen, die gemütlich plaudernd sahnige Tortenstücke verspeisen. Alle haben Zeit, Männer schauen herein, junge Frauen haben Pause. Das Leben perlt dahin, drinnen wie draußen.
Dann eine Tagesfahrt nach Süden mit kurzer Unterbrechung für die geretteten Holzhäuser am Fluss in Mosjøen, freundlicherweise ohne Regen.
Später versuchen wir den einen oder anderen Camping, nehmen den zweiten, obwohl auf den ersten Blick keine geheizte Gemeinschaftsküche in Sicht ist. Dann aber bringt uns unser französisches Auto Glück. Der Verwalter des Platzes ist Bretone und sehr froh, mal wieder französisch quatschen zu können. Er schließt uns die Küche der Besitzer auf, gut geheizt, ausgestattet mit dem was wir brauchen. Wir bieten Apéro und ein Glas Wein, er alle möglichen Geschichten, lässt uns den Schüssel und wir sind „gerettet“. Jedenfalls Freitag Abend.
Wir werden versuchen eine frühere Fähre zu buchen. Vielleicht können wir Montag nach Dänemark übersetzen.
Vendredi
Compter les gouttes de pluie n’a plus de valeur. Il pleut sans arrêt. Nous allons prendre le petit-déjeuner dans une charmante pâtisserie et rencontrons dès le matin des groupes de dames qui dégustent des parts de gâteau crémeux en bavardant tranquillement. Tout le monde a le temps, les hommes passent, les jeunes femmes sont en pause. La vie s’écoule, à l’intérieur comme à l’extérieur.
Ensuite, une journée de route vers le sud, avec une courte interruption pour visiter les maisons en bois sauvées au bord de la rivière à Mosjøen, sans pluie.
Plus tard, nous essayons l’un ou l’autre camping, prenons le deuxième, bien qu’à première vue, aucune cuisine commune chauffée ne soit en vue. Mais ensuite, notre voiture française nous porte chance. Le gérant du camping est breton et très heureux de pouvoir bavarder en français. Il nous ouvre la cuisine des propriétaires, bien chauffée et équipée de tout ce dont nous avons besoin. Nous offrons l’apéro et un verre de vin, il raconte toutes sortes d’histoires, nous laisse la gamelle et nous sommes « sauvés ». En tout cas, vendredi soir.
Nous allons essayer de réserver un ferry plus tôt. Peut-être pourrons-nous faire la traversée vers le Danemark lundi.
Sonnenschein, einen Tag Pause, malen, lesen, aufs Wasser gucken, Schiffe zählen, Birkenpilze finden, Preiselbeere suchen und finden, ein Gläschen einkochen, lesen, aufs Wasser gucken, …, Gerd in die Küche lassen, kochen, Wein und Bier trinken, wieder Schiffe zählen, Regentropfen erschrecken! Sonnenblitze genießen.
Jeudi
Du soleil, une journée de pause, peindre, lire, regarder l’eau, compter les bateaux, trouver des champignons de bouleau, chercher et trouver des airelles, faire un petit pot, lire, regarder l’eau, …, laisser Gerd dans la cuisine, cuisiner, boire du vin et de la bière, compter à nouveau les bateaux, effrayer les gouttes de pluie ! Profiter des éclairs de soleil.
Die Heringsschwärme haben tausende neue Siedler nach Nordnorwegen gelockt. Das Wasser hat gekocht mit einer Überfülle am Fisch. Bis der Traum vorbei war. Überfischung hat die gerade entstandene Industrie rasch wieder sterben lassen. Heute ist es eine der am dünnsten besiedelten Gebiete Norwegens. Auch die Fischfarmen konnten den Verlust nicht ausgleichen.
Heute gibt es wieder Hering, der zu den wichtigsten Speisefischen gehört.
“Weltweit kommt wohl kein Fisch in größerer Zahl vor. Er bildet riesige Schwärme, die viele hundert Tonnen enthalten können.” (WWF Deutschland, 20.8.24) Als das„Silber des Meeres“, in grossen Schwärmen mit ihrer silbern schimmernden Farbe, ihrem exzellenten Wahrnehmungsvermögen und einer enorm schnellen Fluchtreaktion bieten sie allen gemeinsam Schutz vor Fraßfeinden und unterstützen auf der anderen Seite das gemeinsame Jagen. Ein Fischmanagement, international vereinbart, kontrolliert fortlaufend die Bestände.
Die Aufbruchstimmung ist verflogen. Im Norden lässt es sich ruhig leben, gute Luft, rauhes Wetter. Wer hier geboren und aufgewachsen ist, bleibt oder will – oft – zurück.
1870 : Départ pour s’installer au nord
Les bancs de harengs ont attiré des milliers de nouveaux colons dans le nord de la Norvège. L’eau a bouilli avec une surabondance de poissons. Jusqu’à ce que le rêve prenne fin. La surpêche a rapidement fait mourir l’industrie naissante. Aujourd’hui, c’est l’une des régions les moins peuplées de Norvège. Même les fermes piscicoles n’ont pas pu compenser cette perte. Aujourd’hui, on trouve à nouveau du hareng, qui fait partie des principaux poissons comestibles. „Aucun poisson au monde n’est probablement présent en plus grand nombre. Il forme d’énormes bancs qui peuvent contenir plusieurs centaines de tonnes“. (WWF Allemagne, 20.8.24) En tant que „l’argent de la mer“, en grands bancs avec leur couleur argentée scintillante, leur excellente capacité de perception et une réaction de fuite extrêmement rapide, ils offrent à tous ensemble une protection contre les prédateurs et soutiennent d’autre part la chasse commune. Une gestion des poissons, convenue au niveau international, contrôle en permanence les stocks.
L’ambiance de départ s’est dissipée. Dans le nord, la vie est calme, l’air est bon, le temps est rude. Ceux qui sont nés et ont grandi ici restent ou veulent – souvent – revenir.
Nachdem es heute den ganzen Tag heftig geregnet hat, haben wir beschlossen, nicht weiter nach Norden zu fahren. Wir kanzeln Bodø, wir fahren auf keine Inselchen in den Schären, wir brechen ab und nehmen die Route nach Süden in der Hoffnung auf weniger bis keinen Regen. Zudem haben wir gelernt: nicht nach dem 5. August nach Nordnorwegen reisen, denn dann fängt die erholsame Winterpause an. Zwar haben die Bauern reichlich auf ihren Feldern zu tun, Gras schneiden für den Winter, das Korn einfahren und die Schafe wiederfinden. Ansonsten haben alle Supermärkte ihr Sortiment an Wolle, Nadeln und Musterheften aufgestockt, junge Frauen sitzen bereits strickend im Café und Regenjacken in allen denkbaren Farben laufen an uns vorüber. Ein Geschäft mit Gummistiefeln haben wir noch nicht entdeckt. Also sind wir zum nächsten Campingplatz gefahren und haben uns in die Nähe des Küchenhauses gestellt. Dort konnten wir trocken und warm kochen und essen.
Am Abend dann Sonne, die die sieben Schwestern beleuchtet, die wir tagsüber vor lauter Wolken nicht gesehen haben. Und ein fantastischer Sonnenuntergang.
Morgen soll es noch einmal schön werden. Das werden wir ausnutzen und unseren Bus vom Küchenhaus direkt ans Meer stellen.
Nous reprenons maintenant le chemin du retour
Après qu’il a plu abondamment toute la journée, nous avons décidé de ne pas continuer vers le nord. Nous chapitrons Bodø, nous n’allons sur aucun îlot de l’archipel, nous rompons et prenons la route vers le sud en espérant moins ou pas de pluie. De plus, nous avons appris qu’il ne fallait pas se rendre dans le nord de la Norvège après le 5 août, car c’est à ce moment-là que commence la pause hivernale reposante. Certes, les agriculteurs ont amplement à faire dans leurs champs, couper l’herbe pour l’hiver, rentrer le blé et retrouver les moutons. Sinon, tous les supermarchés ont augmenté leur assortiment de laine, d’aiguilles et de cahiers d’échantillons, des jeunes femmes sont déjà assises au café en train de tricoter et des imperméables de toutes les couleurs imaginables passent devant nous. Nous n’avons pas encore découvert de magasin proposant des bottes en caoutchouc. Nous sommes donc allés au camping le plus proche et nous sommes installés près de la maison de la cuisine. Là, nous avons pu cuisiner et manger au sec et au chaud.
Le soir, du soleil qui illumine les sept sœurs que nous n’avions pas vues pendant la journée à cause des nuages. Et un fantastique coucher de soleil.
Demain, il devrait faire encore beau. Nous en profiterons pour mettre notre bus directement au bord de la mer depuis la maison de la cuisine.
Eigentlich geht’s im Museum Petter Dass ganz eindeutig um Religion, kirchliche Lieder und Geänge, Psalme und Lobpreisungen. Es geht um die die kirchliche und politische Entwicklung Norwegens nach der Reformation, verbunden mit den Entwicklungen im weiten Europa. Und das anhand eines berühmten Pfarrers und Kirchenlieddichters auch diesem Ort. https://www.petterdass-museet.no
Spannend ist vor allem auch die Architektur, die das Büro Snøhhetta 2007 entwickelt hat. Mit einem radikalen Einschnitt durch das Gestein, das rechts und links aufragend sichtbar bleibt, fügt sich der moderne Bau zwischen die Landschaft ein. Das Volumen des Gebäudes entspricht dem entnommenen Felsmassiv. Ziel war die mittelalterliche Gründung der Kirche ins heute zu transferieren. Ein mutiger, großer Schnitt.
Une architecture moderne pour un thème baroque
En fait, le musée Petter Dass traite clairement de religion, de chants et de cantiques religieux, de psaumes et de louanges. Il s’agit de l’évolution ecclésiastique et politique de la Norvège après la Réforme, en lien avec les développements dans l’Europe entière. Et ce, à l’aide d’un pasteur et d’un poète de cantiques célèbres, même à cet endroit. https://www.petterdass-museet.no
L’architecture développée par le bureau Snøhhetta en 2007 est également passionnante. Avec une entaille radicale dans la roche, qui reste visible en saillie à droite et à gauche, la construction moderne s’insère entre le paysage. Le volume du bâtiment correspond au massif rocheux prélevé. L’objectif était de transférer la fondation médiévale de l’église dans le présent. Une coupe courageuse et importante.
Evi und Klaus haben am Fähranleger auf uns gewartet, 3 Stunden, und überraschen uns mit einer Einladung zum Dinner. Auf dem nächst gelegenen Fjordcamping stehen wir direkt am Wasser, auch wenn die Ebbe es geklaut hat. Und es regnet nicht, es ist relativ warm, bis zum Sonnenuntergang halten wir es gut aus. Dann schmeißt Klaus die Heizung im Bus an, wir plaudern und plaudern.
Dann ab ins Bett, alles schnell wegräumen, denn der nächste Tag wird eine nasse graue Suppe. Wir wissen es schon und wollen es gar nicht wissen.
Rencontre hanoïenne à Tjøtta
Evi et Klaus nous ont attendus à l’embarcadère du ferry, 3 heures, et nous surprennent en nous invitant à dîner. Au fjord-camping le plus proche, nous sommes directement au bord de l’eau, même si la marée basse l’a volée. Et il ne pleut pas, il fait relativement chaud, nous tenons bien jusqu’au coucher du soleil. Puis Klaus allume le chauffage dans le bus, nous discutons et bavardons. Puis au lit, nous rangeons tout rapidement, car le lendemain sera une soupe grise et humide. Nous le savons déjà et ne voulons même pas le savoir.
Das macht Norwegen aus und spannend. Bis in den hohen Norden wurden in den letzten zwei Jahrzehnten Projekte mit herausragender Architektur verwirklicht.
Auch das Welterbezentrum auf Vega ist solch ein Beispiel.
Eigentlich geht es ja um Eiderenten und ihren unglaublichen Flaum, weich und warm, das Gold der Insel. Hier ist – so wird vermittelt – das letzte Paradies wild lebender Eiderenten. Die Entlein müssen sich nur vor dem Seeadler fürchten. Das würde ich bei der Spannweite von 180 – 240 m auch tun.
Eiderente: „Es ist eine große, massig wirkende Meerente, die an der arktischen Küste des Atlantiks und des Pazifiks lebt. In Europa kommt sie vor allem in Skandinavien vor. (…) Die Eiderente kommt entlang der nördlichen Küsten von Europa, Nordamerika und Ostsibirien vor. Sie brütet von der Arktis bis in die gemäßigten Klimazonen, in Europa nach Süden etwa bis zum Wattenmeer und ins nordwestliche Frankreich.“ (Wikipedia, 20.8.24)
Mehr als 1.500 Jahre reicht die Geschichte der Inseln zurück. Damals war der Fischfang die Haupteinnahmequelle auf dem Vega-Archipel. Und schon bald entdeckten die Bewohner einen wahren Schatz. Die wohl wärmsten Daunen, die der Eiderente. Fortan bauten die Menschen den Eiderenten überdachte Nester. Bis heute. Und die Fürsorge ist groß. Denn die Nester werden mit getrocknetem Seetang ausgelegte und Fressfeinde wie der Marder werden verscheucht. Die Frauen, die sich in den vergangenen Jahrhunderten auf die Daunenlese spezialisiert hatten, verdienten schon damals weitaus mehr, als ihre tagtäglich fischenden Ehemänner. Heute kommen die Frauen vom Festland. Die meisten sind selbst auf den Inseln geboren, wanderten aber aufgrund der fehlenden Jobmöglichkeiten und des Mangels an modernem Komfort von den Inseln aus.
Heute wie damals ist der Arbeitsaufwand aber nicht zu unterschätzen. Die Nester müssen gehegt und gepflegt werden und die Federn aus bis zu 60 Nestern sind nötig, um nur eine Daunendecke zu befüllen. Anschließend werden sie mit einer sogenannten Daunenharfe von Seetang- und Eierschalenresten gereinigt; eine Technik, auf die die Veganer schon seit Jahrhunderten vertrauen. Und anschließend werden die wertvollen, tierfreundlich gewonnenen Daunen zur wohl kuscheligsten Daunendecke der Welt verarbeitet. So dauert die Arbeit für nur eine Daunendecke wochenlang. Kein Wunder, dass bei einer solchen Qualität Bestellungen aus der ganzen Welt eingehen und die Fans dieser Daunendecken auch lange Wartezeiten in Kauf nehmen. Und auch den Preis akzeptieren, der bei 5.000 Euro liegt. Übrigens: Die Norweger versichern, dass die Daunendecke ein Leben lang hält. Manche wird sogar über Generationen vererbt.
Uns hat sich keine einzige Ente gezeigt. Dafür aber ein paar Ziegen und die Sonne – sofort werden alle Pullover ausgezogen!
Une architecture qui impressionne
C’est ce qui fait la spécificité de la Norvège et la rend passionnante. Au cours des deux dernières décennies, des projets d’architecture exceptionnels ont été réalisés jusque dans le Grand Nord. Le centre du patrimoine mondial de Vega en est un exemple. Il s’agit en fait d’eiders et de leur incroyable duvet, doux et chaud, l’or de l’île. C’est ici que se trouve le dernier paradis des eiders sauvages. Les canetons n’ont qu’à craindre l’aigle de mer. C’est ce que je ferais, vu leur envergure de 180 à 240 mètres. Eider à duvet : „C’est un grand canard marin à l’allure massive qui vit sur la côte arctique de l’Atlantique et du Pacifique. En Europe, on le trouve surtout en Scandinavie. (…) L’eider à duvet se trouve le long des côtes septentrionales de l’Europe, de l’Amérique du Nord et de la Sibérie orientale. Il niche de l’Arctique jusqu’aux zones tempérées, en Europe vers le sud jusqu’à la mer des Wadden et le nord-ouest de la France“. (Wikipedia, 20.8.24)
L’histoire des îles remonte à plus de 1.500 ans. À l’époque, la pêche était la principale source de revenus de l’archipel de Vega. Et très vite, les habitants ont découvert un véritable trésor. Le duvet sans doute le plus chaud, celui de l’eider. Dès lors, les hommes ont construit des nids couverts pour les eiders. Et ce jusqu’à aujourd’hui. Et la sollicitude est grande. En effet, les nids sont tapissés de varech séché et les prédateurs comme la martre sont effrayés. Les femmes qui s’étaient spécialisées dans la récolte du duvet au cours des siècles précédents gagnaient déjà bien plus que leurs maris qui pêchaient tous les jours. Aujourd’hui, les femmes viennent du continent. La plupart sont elles-mêmes nées sur les îles, mais ont émigré en raison du manque de possibilités d’emploi et du manque de confort moderne.
Aujourd’hui comme hier, la charge de travail ne doit pas être sous-estimée. Les nids doivent être choyés et entretenus, et les plumes de jusqu’à 60 nids sont nécessaires pour remplir un seul édredon. Ensuite, ils sont nettoyés des restes de varech et de coquilles d’œufs à l’aide d’une „harpe à duvet“ ; une technique à laquelle les végétaliens font confiance depuis des siècles. Enfin, le précieux duvet obtenu dans le respect des animaux est transformé en l’édredon le plus moelleux du monde. Ainsi, le travail pour une seule couette en duvet dure des semaines. Il n’est donc pas étonnant qu’avec une telle qualité, les commandes arrivent du monde entier et que les fans de ces édredons acceptent de longs délais d’attente. Et aussi accepter le prix, qui est de 5 000 euros. D’ailleurs, les Norvégiens assurent que l’édredon dure toute une vie. Certains se transmettent même de génération en génération. Nous n’avons pas vu un seul canard. En revanche, quelques chèvres et le soleil – on enlève immédiatement tous les pulls !
Wir sitzen mit einem wunderbaren Blick aufs heute wilde Wasser im Museum in Rørvik, Kaffee in der Hand und moderne Architektur über uns. Ein klitzekleiner Guide auf Deutsch wird uns später durch die Ausstellung begleiten. Wir haben keine Eile nach draußen zu gehen. Schwere Regenschauer erwarten uns dort.
Entwurf des Museums
Die Seniorenermäßigung beim Eintrittspreis haben wir sogleich in Kaffee umgewandelt.
Zwischen den Regengüssen und Sonnenblitzen zwischen schweren Wolken sehen wir hinter Nebel- und Wasserwänden Berge und noch mehr Berge, die aus den Fjorden wachsen. Birkenwälder, quietschgrüne Weiden, graue Heidschnucken und Rinder, sogar Rehe und Kiebitze. Elche gibts nur auf Straßenschildern!
Neue Farben in der Landschaft: tiefgrün, schwarzgrau wechselt mit grauschwarz des Wassers, weiße Wellenkämme und weiße Birkenstämmchen stechen als Akzente heraus, blaue Himmelslöcher lassen auf sich warten. Rote und graue Holzhäuschen werden immer seltener und nur an Kreuzungen versprechen Tankstellen, dass es doch Bewohner*innen gibt. Sie treffen sich im Laden und dem angegliederten Coffeeshop. Deko Original 70er Jahre.
Weil der aber Ferien macht ( der Herbst ist ausgebrochen), dürfen wir unseren Teller selbst mitbringen und Salat und Fisch auf frisch gekauftem Brot essen.
Der Torghatten
Das Loch im Berg, die große Attraktion, wollen wir auch sehen und steigen (quälen) uns den Berg hoch, überholt von fitteren Wanderer*innen. Die bekannten und spektakulären Bilder sind allerseits von der Meeresseite gemacht und wir haben kein Boot. Aber unser guter Wille zählt!
Blick aus dem LochBlick ins Loch auf die andere Seite
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