Freitag

Die Regentropfen zu zählen hat keinen Wert mehr. Es regnet ohn  Unterlass.

Wir gehen frühstücken in einer charmanten Konditorei und treffen schon des morgens auf Damenriegen, die gemütlich plaudernd  sahnige Tortenstücke verspeisen. Alle haben Zeit, Männer schauen herein, junge Frauen haben Pause. Das Leben perlt dahin, drinnen wie draußen. 

Dann eine Tagesfahrt nach Süden mit kurzer Unterbrechung für die geretteten Holzhäuser am Fluss in Mosjøen, freundlicherweise ohne Regen.

Später versuchen wir den einen oder anderen Camping, nehmen den zweiten, obwohl auf den ersten Blick keine geheizte Gemeinschaftsküche in Sicht ist. Dann aber bringt uns unser französisches Auto Glück. Der Verwalter des Platzes ist Bretone und sehr froh, mal wieder französisch quatschen zu können. Er schließt uns die Küche der Besitzer auf, gut geheizt, ausgestattet mit dem was wir brauchen. Wir bieten Apéro und ein Glas Wein, er alle möglichen Geschichten, lässt uns den Schüssel und wir sind „gerettet“. Jedenfalls Freitag Abend. 

Wir werden versuchen eine frühere Fähre zu buchen. Vielleicht können wir Montag nach Dänemark übersetzen. 


Vendredi

Compter les gouttes de pluie n’a plus de valeur. Il pleut sans arrêt. Nous allons prendre le petit-déjeuner dans une charmante pâtisserie et rencontrons dès le matin des groupes de dames qui dégustent des parts de gâteau crémeux en bavardant tranquillement. Tout le monde a le temps, les hommes passent, les jeunes femmes sont en pause. La vie s’écoule, à l’intérieur comme à l’extérieur.

Ensuite, une journée de route vers le sud, avec une courte interruption pour visiter les maisons en bois sauvées au bord de la rivière à Mosjøen, sans pluie.

Plus tard, nous essayons l’un ou l’autre camping, prenons le deuxième, bien qu’à première vue, aucune cuisine commune chauffée ne soit en vue. Mais ensuite, notre voiture française nous porte chance. Le gérant du camping est breton et très heureux de pouvoir bavarder en français. Il nous ouvre la cuisine des propriétaires, bien chauffée et équipée de tout ce dont nous avons besoin. Nous offrons l’apéro et un verre de vin, il raconte toutes sortes d’histoires, nous laisse la gamelle et nous sommes « sauvés ». En tout cas, vendredi soir.

Nous allons essayer de réserver un ferry plus tôt. Peut-être pourrons-nous faire la traversée vers le Danemark lundi.

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