Jetzt treten wir die Rückreise an

Nachdem es heute den ganzen Tag heftig geregnet hat, haben wir beschlossen, nicht weiter nach Norden zu fahren. Wir kanzeln Bodø, wir fahren auf keine Inselchen in den Schären, wir brechen ab und nehmen die Route nach Süden in der Hoffnung auf weniger bis keinen Regen. Zudem haben wir gelernt: nicht nach dem 5. August nach Nordnorwegen reisen, denn dann fängt die erholsame Winterpause an. Zwar haben die Bauern reichlich auf ihren Feldern zu tun, Gras schneiden für den Winter, das Korn einfahren und die Schafe wiederfinden. Ansonsten haben alle Supermärkte ihr Sortiment an Wolle, Nadeln und Musterheften aufgestockt, junge Frauen sitzen bereits strickend im Café und Regenjacken in allen denkbaren Farben laufen an uns vorüber. Ein Geschäft mit Gummistiefeln haben wir noch nicht entdeckt. Also sind wir zum nächsten Campingplatz gefahren und haben uns in die Nähe des Küchenhauses gestellt. Dort konnten wir trocken und warm kochen und essen.

Am Abend dann Sonne, die die sieben Schwestern beleuchtet, die wir tagsüber vor lauter Wolken nicht gesehen haben. Und ein fantastischer Sonnenuntergang.

Die sieben Schwestern

Morgen soll es noch einmal schön werden. Das werden wir ausnutzen und unseren Bus vom Küchenhaus direkt ans Meer stellen.


Nous reprenons maintenant le chemin du retour

Après qu’il a plu abondamment toute la journée, nous avons décidé de ne pas continuer vers le nord. Nous chapitrons Bodø, nous n’allons sur aucun îlot de l’archipel, nous rompons et prenons la route vers le sud en espérant moins ou pas de pluie. De plus, nous avons appris qu’il ne fallait pas se rendre dans le nord de la Norvège après le 5 août, car c’est à ce moment-là que commence la pause hivernale reposante. Certes, les agriculteurs ont amplement à faire dans leurs champs, couper l’herbe pour l’hiver, rentrer le blé et retrouver les moutons. Sinon, tous les supermarchés ont augmenté leur assortiment de laine, d’aiguilles et de cahiers d’échantillons, des jeunes femmes sont déjà assises au café en train de tricoter et des imperméables de toutes les couleurs imaginables passent devant nous. Nous n’avons pas encore découvert de magasin proposant des bottes en caoutchouc. Nous sommes donc allés au camping le plus proche et nous sommes installés près de la maison de la cuisine. Là, nous avons pu cuisiner et manger au sec et au chaud.

Le soir, du soleil qui illumine les sept sœurs que nous n’avions pas vues pendant la journée à cause des nuages. Et un fantastique coucher de soleil.

Demain, il devrait faire encore beau. Nous en profiterons pour mettre notre bus directement au bord de la mer depuis la maison de la cuisine.

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