1870: Aufbruch,  um im Norden zu siedeln

Die Heringsschwärme haben tausende neue Siedler nach Nordnorwegen gelockt. Das Wasser hat gekocht mit einer Überfülle am Fisch. Bis der Traum vorbei war. Überfischung hat die gerade entstandene Industrie rasch wieder sterben lassen. Heute ist es eine der am dünnsten besiedelten Gebiete Norwegens. Auch die Fischfarmen konnten den Verlust nicht ausgleichen. 

Heute gibt es wieder Hering, der zu den wichtigsten Speisefischen gehört.

“Weltweit kommt wohl kein Fisch in größerer Zahl vor. Er bildet riesige Schwärme, die viele hundert Tonnen enthalten können.” (WWF Deutschland, 20.8.24) Als das„Silber des Meeres“, in grossen Schwärmen mit ihrer silbern schimmernden Farbe, ihrem exzellenten Wahrnehmungsvermögen und einer enorm schnellen Fluchtreaktion bieten sie allen gemeinsam Schutz vor Fraßfeinden und unterstützen auf der anderen Seite das gemeinsame Jagen. Ein Fischmanagement, international vereinbart, kontrolliert fortlaufend die Bestände.

Die Aufbruchstimmung ist verflogen. Im Norden lässt es sich ruhig leben, gute Luft, rauhes Wetter. Wer hier geboren und aufgewachsen ist, bleibt oder will – oft – zurück.


1870 : Départ pour s’installer au nord

Les bancs de harengs ont attiré des milliers de nouveaux colons dans le nord de la Norvège. L’eau a bouilli avec une surabondance de poissons. Jusqu’à ce que le rêve prenne fin. La surpêche a rapidement fait mourir l’industrie naissante. Aujourd’hui, c’est l’une des régions les moins peuplées de Norvège. Même les fermes piscicoles n’ont pas pu compenser cette perte.
Aujourd’hui, on trouve à nouveau du hareng, qui fait partie des principaux poissons comestibles.
„Aucun poisson au monde n’est probablement présent en plus grand nombre. Il forme d’énormes bancs qui peuvent contenir plusieurs centaines de tonnes“. (WWF Allemagne, 20.8.24) En tant que „l’argent de la mer“, en grands bancs avec leur couleur argentée scintillante, leur excellente capacité de perception et une réaction de fuite extrêmement rapide, ils offrent à tous ensemble une protection contre les prédateurs et soutiennent d’autre part la chasse commune.
Une gestion des poissons, convenue au niveau international, contrôle en permanence les stocks.

L’ambiance de départ s’est dissipée. Dans le nord, la vie est calme, l’air est bon, le temps est rude. Ceux qui sont nés et ont grandi ici restent ou veulent – souvent – revenir.

Schreibe einen Kommentar

Deine E-Mail-Adresse wird nicht veröffentlicht. Erforderliche Felder sind mit * markiert