Norwegens Norden am Sonntag

Wir sind in Namsos. Eines der wichtigsten Handelszentren des Trøndelag.

An einem regnerischen Sonntag ist es selbst hier nicht einfach, einen Kaffee zu trinken. Das Städtchen schläft, stellt sich mausetot ohne jeden Mucks. Und an einem Regentag wie dem heutigen – da schickt auch der windgegerbte, wasserdichte Norweger keinen Hund vor die Tür. 

Sogar das Freilichtmuseum von Namsos hat schon seit dem 5.8. die Pforten geschlossen. Sie konnten aber die alten Gebäude der bäuerlichen Kultur nicht abbauen, die stehen weiter da, sehr verlassen, immer noch eindrucksvoll und frei zugänglich. 

Landschaft hingegen wird auf unserer weiteren Fahrt reichlich geboten: nackte Felsen, feuchte Hochmoore, kalte Seen und tiefgraue Fjorde. Das ist es, was den Norden prägt.

Lediglich am Fähranleger erbarmt sich ein offenes Restaurant der Wartenden mit dem neuen Nationalgericht: Burger und Fritten. Na ja, nur noch wenn es sein muss.

Erstaunlicherweise haben ein paar Supermärkte ihren Laden auf, allerdings nur den Teil mit alltäglichem Bedarf, so dass wir doch tatsächlich Salat kaufen können und Wasser, das sich später als Zitronenlimo entpuppt. Lesen bildet, auch in Norway!

Seit zwei Nächten lieben wir Campingplätze, die eine Gemeinschaftsküche bieten, einen kleinen Aufenthaltsraum, der warm ist und wirklich hilfreich, da wir nicht draußen im Regen kochen wollen. Heute sind wir sogar die einzigen, die diesen Service zu schätzen wissen. Denn wir sind die einzigen Camper ohne riesiges Schiff und bewohnen auch keine Hütte. Unser kleines Womo steht vorn am Wasser, sturmumbraust.


Le nord de la Norvège le dimanche

Nous sommes à Namsos. L’un des principaux centres commerciaux du Trøndelag.
Même ici, par un dimanche pluvieux, il n’est pas facile de prendre un café. La petite ville dort, fait semblant d’être morte sans faire le moindre bruit. Et un jour de pluie comme aujourd’hui, même le Norvégien imperméable et tanné par le vent n’envoie pas son chien dehors.

Même le musée en plein air de Namsos a fermé ses portes depuis le 5 août. Mais ils n’ont pas pu démonter les anciens bâtiments de la culture paysanne, qui sont toujours là, très abandonnés, toujours aussi impressionnants et librement accessibles.

Le paysage, en revanche, est abondant sur la suite de notre voyage : des roches nues, des tourbières humides, des lacs froids et des fjords d’un gris profond. C’est ce qui caractérise le nord.
Il n’y a qu’à l’embarcadère du ferry qu’un restaurant ouvert a pitié de ceux qui attendent avec le nouveau plat national : des burgers et des frites. Enfin, seulement si c’est nécessaire.
Étonnamment, quelques supermarchés sont ouverts, mais seulement pour les besoins quotidiens, ce qui nous permet d’acheter de la salade et de l’eau, qui se révèle être un soda au citron. La lecture forme, même en Norvège !

Depuis deux nuits, nous aimons les campings qui proposent une cuisine commune, un petit salon qui est chaud et vraiment utile, car nous ne voulons pas cuisiner dehors sous la pluie. Aujourd’hui, nous sommes même les seuls à apprécier ce service. En effet, nous sommes les seuls campeurs à ne pas avoir de bateau géant et nous n’habitons pas non plus de cabane. Notre petit camping-car est placé devant, au bord de l’eau, balayé par la tempête.

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