Freitag: ein schöner Tag beginnt – ein Ende mit Schrecken und noch eine Menge zu organisieren 

Wir frühstücken ein erstes und letztes Mal mit Paul, suchen unseren Kram zusammen und starten in den Sonnenschein Richtung Trondheim, das wir am Samstag besuchen wollen.

Erster wichtiger Stopp: Jutulhogget, Längste Schlucht – Schotterschlucht – Norwegens mit 150 – 500 m Breite und einer Länge von 240 m. Sie ist 240 – 500 m Tief und von steil aufregendem Gestein verschiedener Entwicklungsbereichen wie Dias, Trias bis hin zu jüngeren Gesteinsformationen geprägt. Ein Teil des tiefen Tals ist mit Schottermassen verschüttet und dort, wo der Fels steil aufragt, klammert sich fluoreszierendes Moos fest.

Wer will kann den ganzen lieben langen Tag Blaubeeren suchen und finden (sogar Gerd) oder es auch lassen.

Zweites Highlight: die kilometerlange Bergfahrt zum Tronfjellet mit 1660m und wir waren ganz oben, windumtost und stark abgekühlt, aber mit spektakulärer Sicht nach allen Seiten. Und wie immer stimmt die Infrastruktur. An jedem Highlight ein oder auch zwei Plumsklos. Und immer sauber. Was für eine Welt.

Drittes Highlight: kaum die Schotterpiste verlassen, pfhhh, keine Luft mehr im linken Vorderrad. Mist, Mist, Mist, kannten wir doch schon aus Spanien. Den Tag verderben geht doch auch anders! Aber dieses Mal kann Gerd die Muttern lösen, das Ersatzrad unter dem Bus rauszerren und mit Hilfe einer ukrainische Familie und einem netten norwegischen Helfer wird der VW-Bus wieder fahrbereit. Aber: Kann der Reifen geflickt werden oder brauchen wir zwei neue? Und wo finden wir einen Reifenservice In Norwegen am Samstag.

Egal, wir trudeln Richtung Trondheim, schön langsam durch die Baustellen, wie alle andere auch. Übernachten auf einem fast leeren Camping am Fluss. Bevor es dunkel wird, essen wir endlich mal wieder Nudeln und hoffen auf Morgen.


Vendredi : une belle journée commence – une fin avec des horreurs et encore beaucoup à organiser

Nous prenons un premier et dernier petit-déjeuner avec Paul, rassemblons nos affaires et partons sous le soleil en direction de Trondheim, que nous voulons visiter samedi.

Premier arrêt important : Jutulhogget, le plus long canyon – canyon de gravier – de Norvège avec 150 – 500 m de large et 240 m de long. Elle est profonde de 240 à 500 m et se caractérise par des roches abruptes de différentes zones d’évolution comme le dias, le trias et des formations rocheuses plus récentes. Une partie de la vallée profonde est recouverte de masses de graviers et de la mousse fluorescente s’accroche là où la roche est à pic.

Ceux qui le souhaitent peuvent chercher et trouver des myrtilles toute la journée (même Gerd) ou ne pas le faire.

Deuxième temps fort : la montée de plusieurs kilomètres jusqu’au Tronfjellet à 1660 m et nous étions tout en haut, balayés par le vent et fortement refroidis, mais avec une vue spectaculaire de tous les côtés. Et comme toujours, l’infrastructure est parfaite. Un ou deux WC à chaque point fort. Et toujours propre. Quel monde !

Troisième temps fort : à peine sorti de la piste de terre, pfhhh, plus d’air dans la roue avant gauche. Zut, zut, zut, on l’avait déjà vu en Espagne. Il y a une autre façon de gâcher la journée ! Mais cette fois-ci, Gerd parvient à desserrer les écrous, à sortir la roue de secours de sous le bus et, avec l’aide d’une famille ukrainienne et d’un gentil bénévole norvégien, le bus VW est à nouveau prêt à rouler. Mais : le pneu peut-il être réparé ou nous faut-il deux nouveaux pneus ? Et où trouver un service de pneus en Norvège le samedi ?

Peu importe, nous nous dirigeons vers Trondheim, en traversant lentement les chantiers, comme tout le monde. Nous passons la nuit dans un camping presque vide au bord de la rivière. Avant la tombée de la nuit, nous mangeons enfin des nouilles et espérons demain.

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