Norwegens Norden am Sonntag

Wir sind in Namsos. Eines der wichtigsten Handelszentren des Trøndelag.

An einem regnerischen Sonntag ist es selbst hier nicht einfach, einen Kaffee zu trinken. Das Städtchen schläft, stellt sich mausetot ohne jeden Mucks. Und an einem Regentag wie dem heutigen – da schickt auch der windgegerbte, wasserdichte Norweger keinen Hund vor die Tür. 

Sogar das Freilichtmuseum von Namsos hat schon seit dem 5.8. die Pforten geschlossen. Sie konnten aber die alten Gebäude der bäuerlichen Kultur nicht abbauen, die stehen weiter da, sehr verlassen, immer noch eindrucksvoll und frei zugänglich. 

Landschaft hingegen wird auf unserer weiteren Fahrt reichlich geboten: nackte Felsen, feuchte Hochmoore, kalte Seen und tiefgraue Fjorde. Das ist es, was den Norden prägt.

Lediglich am Fähranleger erbarmt sich ein offenes Restaurant der Wartenden mit dem neuen Nationalgericht: Burger und Fritten. Na ja, nur noch wenn es sein muss.

Erstaunlicherweise haben ein paar Supermärkte ihren Laden auf, allerdings nur den Teil mit alltäglichem Bedarf, so dass wir doch tatsächlich Salat kaufen können und Wasser, das sich später als Zitronenlimo entpuppt. Lesen bildet, auch in Norway!

Seit zwei Nächten lieben wir Campingplätze, die eine Gemeinschaftsküche bieten, einen kleinen Aufenthaltsraum, der warm ist und wirklich hilfreich, da wir nicht draußen im Regen kochen wollen. Heute sind wir sogar die einzigen, die diesen Service zu schätzen wissen. Denn wir sind die einzigen Camper ohne riesiges Schiff und bewohnen auch keine Hütte. Unser kleines Womo steht vorn am Wasser, sturmumbraust.


Le nord de la Norvège le dimanche

Nous sommes à Namsos. L’un des principaux centres commerciaux du Trøndelag.
Même ici, par un dimanche pluvieux, il n’est pas facile de prendre un café. La petite ville dort, fait semblant d’être morte sans faire le moindre bruit. Et un jour de pluie comme aujourd’hui, même le Norvégien imperméable et tanné par le vent n’envoie pas son chien dehors.

Même le musée en plein air de Namsos a fermé ses portes depuis le 5 août. Mais ils n’ont pas pu démonter les anciens bâtiments de la culture paysanne, qui sont toujours là, très abandonnés, toujours aussi impressionnants et librement accessibles.

Le paysage, en revanche, est abondant sur la suite de notre voyage : des roches nues, des tourbières humides, des lacs froids et des fjords d’un gris profond. C’est ce qui caractérise le nord.
Il n’y a qu’à l’embarcadère du ferry qu’un restaurant ouvert a pitié de ceux qui attendent avec le nouveau plat national : des burgers et des frites. Enfin, seulement si c’est nécessaire.
Étonnamment, quelques supermarchés sont ouverts, mais seulement pour les besoins quotidiens, ce qui nous permet d’acheter de la salade et de l’eau, qui se révèle être un soda au citron. La lecture forme, même en Norvège !

Depuis deux nuits, nous aimons les campings qui proposent une cuisine commune, un petit salon qui est chaud et vraiment utile, car nous ne voulons pas cuisiner dehors sous la pluie. Aujourd’hui, nous sommes même les seuls à apprécier ce service. En effet, nous sommes les seuls campeurs à ne pas avoir de bateau géant et nous n’habitons pas non plus de cabane. Notre petit camping-car est placé devant, au bord de l’eau, balayé par la tempête.

Was die Nordnorweger*innen so tragen 

Schuhwerk im nördlichen Norwegen

Juni bis August: Gummischuhe, Gummistiefel, leichte Bergschuhe, keinesfalls Pumps, Stöckelschuhe, Wildlederstiefelletten.

September bis Mai: schwere Bergstiefel, Schneeschuhe, Schlittschuhe, keinesfalls schicke Schuhe, nicht mal auf dem Tanzboden.

Gibt es überhaupt Schuhläden?
Wann zeigt Frau einen schlanken Fuß?

Und die Bekleidung im nördlichen Norwegen?

Norweger Pullover, regen- und schneefeste Jacke und Hose … Kaschmir geht auch., Mütze über die Ohren, Schal um den Hals. Regenmantel ja, aber keinen Schirm. Zu viel Wind.
Keinesfalls: dünne Seidenfummel! Schade ums Geld.


Ce que portent les Norvégiens du Nord 

Chaussures dans le nord de la Norvège

Juin à août : chaussures en caoutchouc, bottes en caoutchouc, chaussures de montagne légères, en aucun cas des escarpins, des talons aiguilles, des bottines en daim.

De septembre à mai : bottes de montagne lourdes, raquettes à neige, patins à glace, en aucun cas des chaussures chics, même pas sur la piste de danse.

Y a-t-il au moins des magasins de chaussures ?
Quand une femme montre-t-elle un pied fin ?

Et l’habillement dans le nord de la Norvège ?

Pull norvégien, veste et pantalon imperméables à la pluie et à la neige … le cachemire convient aussi, bonnet sur les oreilles, écharpe autour du cou. Un imperméable oui, mais pas de parapluie. Trop de vent.

En aucun cas : de minces vêtements en soie ! Dommage pour l’argent.

Norwegen im Herbst

Was wir nicht wussten: In dieser Gegend von Norwegen hört der Sommer Anfang August auf. Museen und Restaurants schließen oder verkürzen die Öffnungszeiten. Zeltplätze machen zu oder sind leer und der Platz wird über das Telefon gebucht.

Und das Wetter verhält sich auch so. Überall Wasser: von unten und oben und in der Umgebung. Abwechselnd Moortümpel, Senken, kleine und große Seen, verbunden mit den Fjorden.
Farben: in erster Linie grau, hellgrau, dunkelgrau, blaugrau, lichtes grau gelegentlich, tieftraurig überwiegend. Wo bleiben blau und gelb?
Das Wasser von oben bleibt noch eine Weile und Sturm kommt auf: Hüttenzeit!

Das Beste am Campen: die warmen Räum! Es sind die Duschen und Toiletten, denn die sind immer beheizt und das Wasser ist schön warm. Oft gibt es auch eine Küche mit Sitzecke. Wunderbar, wenn es regnet und stürmt.

Und außerdem: der Badeanzug kann in die Altkleidersammlung, noch kein einziges Mal gebadet und das beheizte Schwimmbad von Namsos hat bis 2025 geschlossen.

Ein Rat für alle Nordlandfahrer*innen: Juni = ja, Juli = ja, August = Schluss aus am 5.8. mit Ferienende!


La Norvège en automne

Ce que nous ne savions pas : Dans cette région de Norvège, l’été s’arrête début août. Les musées et les restaurants ferment ou réduisent leurs horaires d’ouverture. Les campings ferment ou sont vides et l’emplacement se réserve par téléphone.

Et le temps se comporte de la même manière. De l’eau partout : par le bas, par le haut et dans les environs. Tour à tour des mares de tourbières, des dépressions, des petits et grands lacs, reliés aux fjords.
Couleurs : en premier lieu gris, gris clair, gris foncé, bleu-gris, gris clair de temps en temps, profondément triste en majorité. Où sont le bleu et le jaune ?
L’eau d’en haut reste encore un moment et la tempête se lève : C’est l’heure de la cabane !

Le meilleur du camping : les locaux chauds ! Ce sont les douches et les toilettes, car elles sont toujours chauffées et l’eau est bien chaude. Souvent, il y a aussi une cuisine avec un coin salon. C’est merveilleux quand il pleut et qu’il y a de l’orage.

Et en plus : le maillot de bain peut aller à la collecte des vieux vêtements, pas encore pris un seul bain et la piscine chauffée de Namsos a fermé jusqu’en 2025.

Un conseil pour tous les voyageurs du Nord : juin = oui, juillet = oui, août = terminé le 5.8 avec la fin des vacances !

Am Tag danach (Samstag)

10:49 – 2 neue Reifen unbekannter Marke auf den Felgen und etliche Kronen weniger.

Der Regen am Morgen hat sich verzogen und wir gehen frohgemut frühstücken: endlich. Das reicht dann für mich bis zum Abend, die dicke Lachs-Eier -Stulle mit Cappuccino.

Nach einem fast nur sonnigen Tag starten wir nach Norden, nachdem wir die Orgel des Doms gehört und mit Herrn Pastor meditiert haben, die Holzhäuser von Trondheim gesehen, einen echten Espresso italiano genossen (mit voller Sonne) und das Museum, das ich wegen der Architektur sehen wollte, verfehlt haben. 

Auf in die nicht zu vermeidende Regenfront … 

Und was es noch zu wissen gibt:

Das Normale: Renteneintritt mit 67 Jahren bei vollen Bezügen (in der Regel). Ab 62 ist es möglich, jedoch mit Abschlägen, wenn man oder frau nicht schon 40 Jahre Mitglied in der Sozialversicherung war.

Das Notwendige: Zimt muss rein! Fast in jedes Gebäck.

Das Erstaunliche: Fast jede Wohnung, ob neu oder alt, verfügt über einen eigenen Balkon. Das schafft einen individuellen „Freiraum“ mit eigenem Flair. Wichtiger Wohlfühlraum, sagt Lars.

Das Selbstverständliche: eine Angel gehört ins Gepäck und der „Engangsgrill“.  Für dessen Reste gibts im Park sogar feuerfeste Mülltonnen.

Abends: Erst der 2. Campingplatz gefällt uns. Wieder lange, fast viel zu lange gefahren, zockel, zockel von Baustelle zu Baustelle in einem Inferno von Granitschotter und Basalt. Es ist ein felsiges Land, dieses Norwegen und wird, je weiter wir nach Norden fahren, immer rauher. Genauso wie wir es wollten. Nur mehr Sonne und mehr warm, bitte, bitte!


Le jour d’après (samedi)

10h49 – 2 nouveaux pneus de marque inconnue sur les jantes et plusieurs couronnes en moins.
La pluie du matin s’est dissipée et nous allons prendre le petit déjeuner de bonne humeur : enfin. Cela suffit pour moi jusqu’au soir, l’omelette au saumon avec un cappuccino.
Après une journée presque entièrement ensoleillée, nous partons vers le nord après avoir écouté l’orgue de la cathédrale et, bien entendu, médité avec Monsieur le Pasteur, vu les maisons en bois de Trondheim, savouré un véritable espresso italiano (en plein soleil) et raté le musée que je voulais voir pour son architecture.
En route pour l’inévitable front de pluie …

Et ce qu’il faut encore savoir :

La normale : Départ à la retraite à 67 ans avec un salaire complet (en règle générale). C’est possible à partir de 62 ans, mais avec des réductions si l’on ou la femme n’a pas déjà été affilié(e) à la sécurité sociale pendant 40 ans.

Le nécessaire : il faut mettre de la cannelle ! Presque dans toutes les pâtisseries.
Ce qui est surprenant : Presque chaque appartement, qu’il soit neuf ou ancien, dispose de son propre balcon. Cela crée un „espace libre“ individuel avec un flair propre. Un espace de bien-être important, selon Lars.

L’évidence : une canne à pêche et un „barbecue en couloir“ font partie des bagages. Pour les restes, il y a même des poubelles ignifugées dans le parc.

Le soir : seul le deuxième camping nous plaît. Encore une fois, nous roulons longtemps, presque trop longtemps, zigzaguant de chantier en chantier dans un enfer de gravier granitique et de basalte. C’est un pays rocheux, cette Norvège, et plus nous allons vers le nord, plus il devient rude. Exactement comme nous le voulions. Juste plus de soleil et plus de chaleur, s’il vous plaît, s’il vous plaît !

Freitag: ein schöner Tag beginnt – ein Ende mit Schrecken und noch eine Menge zu organisieren 

Wir frühstücken ein erstes und letztes Mal mit Paul, suchen unseren Kram zusammen und starten in den Sonnenschein Richtung Trondheim, das wir am Samstag besuchen wollen.

Erster wichtiger Stopp: Jutulhogget, Längste Schlucht – Schotterschlucht – Norwegens mit 150 – 500 m Breite und einer Länge von 240 m. Sie ist 240 – 500 m Tief und von steil aufregendem Gestein verschiedener Entwicklungsbereichen wie Dias, Trias bis hin zu jüngeren Gesteinsformationen geprägt. Ein Teil des tiefen Tals ist mit Schottermassen verschüttet und dort, wo der Fels steil aufragt, klammert sich fluoreszierendes Moos fest.

Wer will kann den ganzen lieben langen Tag Blaubeeren suchen und finden (sogar Gerd) oder es auch lassen.

Zweites Highlight: die kilometerlange Bergfahrt zum Tronfjellet mit 1660m und wir waren ganz oben, windumtost und stark abgekühlt, aber mit spektakulärer Sicht nach allen Seiten. Und wie immer stimmt die Infrastruktur. An jedem Highlight ein oder auch zwei Plumsklos. Und immer sauber. Was für eine Welt.

Drittes Highlight: kaum die Schotterpiste verlassen, pfhhh, keine Luft mehr im linken Vorderrad. Mist, Mist, Mist, kannten wir doch schon aus Spanien. Den Tag verderben geht doch auch anders! Aber dieses Mal kann Gerd die Muttern lösen, das Ersatzrad unter dem Bus rauszerren und mit Hilfe einer ukrainische Familie und einem netten norwegischen Helfer wird der VW-Bus wieder fahrbereit. Aber: Kann der Reifen geflickt werden oder brauchen wir zwei neue? Und wo finden wir einen Reifenservice In Norwegen am Samstag.

Egal, wir trudeln Richtung Trondheim, schön langsam durch die Baustellen, wie alle andere auch. Übernachten auf einem fast leeren Camping am Fluss. Bevor es dunkel wird, essen wir endlich mal wieder Nudeln und hoffen auf Morgen.


Vendredi : une belle journée commence – une fin avec des horreurs et encore beaucoup à organiser

Nous prenons un premier et dernier petit-déjeuner avec Paul, rassemblons nos affaires et partons sous le soleil en direction de Trondheim, que nous voulons visiter samedi.

Premier arrêt important : Jutulhogget, le plus long canyon – canyon de gravier – de Norvège avec 150 – 500 m de large et 240 m de long. Elle est profonde de 240 à 500 m et se caractérise par des roches abruptes de différentes zones d’évolution comme le dias, le trias et des formations rocheuses plus récentes. Une partie de la vallée profonde est recouverte de masses de graviers et de la mousse fluorescente s’accroche là où la roche est à pic.

Ceux qui le souhaitent peuvent chercher et trouver des myrtilles toute la journée (même Gerd) ou ne pas le faire.

Deuxième temps fort : la montée de plusieurs kilomètres jusqu’au Tronfjellet à 1660 m et nous étions tout en haut, balayés par le vent et fortement refroidis, mais avec une vue spectaculaire de tous les côtés. Et comme toujours, l’infrastructure est parfaite. Un ou deux WC à chaque point fort. Et toujours propre. Quel monde !

Troisième temps fort : à peine sorti de la piste de terre, pfhhh, plus d’air dans la roue avant gauche. Zut, zut, zut, on l’avait déjà vu en Espagne. Il y a une autre façon de gâcher la journée ! Mais cette fois-ci, Gerd parvient à desserrer les écrous, à sortir la roue de secours de sous le bus et, avec l’aide d’une famille ukrainienne et d’un gentil bénévole norvégien, le bus VW est à nouveau prêt à rouler. Mais : le pneu peut-il être réparé ou nous faut-il deux nouveaux pneus ? Et où trouver un service de pneus en Norvège le samedi ?

Peu importe, nous nous dirigeons vers Trondheim, en traversant lentement les chantiers, comme tout le monde. Nous passons la nuit dans un camping presque vide au bord de la rivière. Avant la tombée de la nuit, nous mangeons enfin des nouilles et espérons demain.

Tag 4: kurz und knapp – Vulkan ohne Ausbruch, aber mit Deco

Unser erster Tag bei Conni und Paul und Ella und Adam, den Enkeln aus Detmold.

Erst mal einkaufen für den Kuchen. Im Rena 1000, dem Supermarkt um die Ecke.

Ein Kinderspiel: das ABC lernen mit den Gewürzen der Küche, ein neues Puzzle.

Die gute Tat: Möhrenkuchen backen für Jonas, der heute 10 geworden ist, mit selbst gekneteten Marzipanmöhren. Aufgepasst, dass die kleinen Leckermäuler nicht alle schon vorher weggenascht haben. Und vor allem Silberperlen streuen, denn irgendwie schneit es in Norge doch immer.

Vulkan in Oslo: das alte Industrie- und Arbeiterviertel ist jetzt zum Ausgehen- und Kunst-Kulturzentrum “gentrifiziert”. Ein Stadtspaziergang der anderen Art, bis der Regen kommt.

Im Auge des Betrachters: ist das Kunst oder kann das endlich weg?

Wie weiter: eine noch unbeantwortete Frage, der wir uns morgen stellen.


Jour 4 : en bref – Volcan sans éruption, mais avec déco

Notre premier jour chez Conni et Paul et Ella et Adam, les petits-enfants de Detmold.

D’abord faire les courses pour le gâteau. Au Rena 1000, le supermarché du coin.

La bonne action : préparer un gâteau aux carottes pour Jonas, qui a eu 10 ans aujourd’hui, avec des carottes en pâte d’amande que j’ai pétries moi-même. Veiller à ce que les petits gourmands ne les lavent pas tous avant. Et surtout, saupoudrer de perles argentées, car il neige toujours en Norvège.

Vulkan à Oslo : l’ancien quartier industriel et ouvrier s’est „embourgeoisé“ pour devenir un centre culturel et artistique. Une promenade en ville d’un autre genre, jusqu’à ce que la pluie arrive.
Dans l’œil de l’observateur : est-ce de l’art ou cela peut-il enfin disparaître ?
La suite : une question encore sans réponse que nous aborderons demain.

Auf in den hohen Norden

Tag 1 und 2: wer suchet der findet – oder auch nicht!

Sonnenbrille: Gerd sucht schon vor der Abfahrt in Hannover im Auto, in der Wohnung, im Rucksack und … findet sie tatsächlich.

Lunch in Dänemark: das Honigkuchen Kaffee in Christiansfeld hat nur süßes Zeugs, das kommt später. Im Kellerhotel nebenan sucht man die Bedienung – lange, aber alles wird gut. Dann kommen die Törtchen.

Tankstelle: Gerd immer auf der Suche nach der billigsten Tankstelle ! So ist das nicht, ich habe schon vor der Grenze getankt, geplant! (Gerd).

I-pad Angelika: tief verschollen, erst am nächsten Morgen wieder aufgetaucht, immerhin nicht vergessen.

Campingplatz: erst der zweite Versuch ist ok, wenn auch nur 1 Toilette mit integrierter Minidusche geboten wird. Eigentlich sind nur 9 Stellplätze vorhanden, es stehen aber mindestens 20 Camper rum und bis spät in den Abend füllt sich der Platz weiter. 

Das schönste Café von Hirtshals, das wir noch 2022 mit Moni und Hans besuchten: hat bis Donnerstag geschlossen, wie schade.

Am Strand von Hirtshals: immer das selbe … die schönste Muschel ist noch nicht gefunden.

Was kann man noch suchen, und das eher permanent: den Autoschlüssel, eine versteckte Jacke, die Socken, die nicht im Weg liegen, eine neue Wasserflasche und mehr Sonne und Wärme.

Die Fähre haben wir dann doch rechtzeitig gefunden. Und abends waren wir schon bei Conny und Paul.

Blick auf Hirtshals

En route pour le grand nord

Jour 1 et 2 : qui cherche trouve – ou pas !

Lunettes de soleil : Gerd les cherche dans la voiture, dans l’appartement, dans le sac à dos avant le départ de Hanovre et … les trouve effectivement.

Déjeuner au Danemark : le Honigkuchen Kaffee à Christiansfeld n’a que des trucs sucrés, ce sera pour plus tard. Dans le Kellerhotel d’à côté, on cherche la serveuse – longtemps, mais tout se passe bien. Puis les cupcakes arrivent.

Station-service : Gerd toujours à la recherche de la station-service la moins chère ! Ce n’est pas comme ça, j’ai déjà fait le plein avant la frontière, c’était prévu ! (Gerd).

I-pad Angelika : perdu au fin fond de l’Allemagne, réapparu seulement le lendemain matin, mais pas oublié.

Camping : seulement le deuxième essai est ok, même s’il n’y a qu’une seule toilette avec une mini-douche intégrée. En fait, il n’y a que 9 emplacements, mais il y a au moins 20 campeurs et le terrain continue à se remplir jusque tard dans la soirée. 

Le plus beau café de Hirtshals, que nous avons encore visité en 2022 avec Moni et Hans : est fermé jusqu’à jeudi, quel dommage.

Sur la plage de Hirtshals : toujours la même chose … le plus beau coquillage n’a pas encore été trouvé.

Que peut-on encore chercher, et plutôt en permanence : la clé de la voiture, une veste cachée, les chaussettes qui ne sont pas sur le chemin, une nouvelle bouteille d’eau et plus de soleil et de chaleur.

Nous avons finalement trouvé le ferry à temps. Et le soir, nous étions déjà chez Conny et Paul.

Richtung Südosten

In der Ebene sollte es wärmer sein und kein Regen ? Wir sehen noch eine der Stabkirchen, auch von innen und suchen einen Campingplatz. Der von Gerd avisierte Platz ist es nicht. Erinnert zu sehr an die Filme von Kaurismäki, ältere Männer, Hauptsächlich Angler und Jäger. Also fahren wir zurück auf einen Platz, den wir im Vorbeifahren gesehen haben, campen an einem wild rauschenden Bäch. Es wird doch noch gekocht, die Sonne hat sich nochmal gezeigt, aber der Wind, der Wind, hat zugenommen und bläst verdammt kalt. 
Hans konnte wieder ein Vogelfoto schießen, der Ohrentaucher füttert sein Kleines. Das Männchen treibt bunt, wie immer, das Weibchen ist bescheiden braungrau. 
Die Kälte treibt uns ins Häuschen – die Bar des Campings – und fordert eine 
Flasche Wein, wie gesagt, wir sind ja nicht zum Sparen hier. Das ist die Nacht der Kälte, vermutlich zwischen 5-8 Grad, alle frieren ein wenig und wollen es wärmer. Das wird die Devise des Tages.

Richtung Süden! Dort scheint die Sonne, hoffentlich, das Wetter ist besser! Es ist wärmer und zurück auf Anfang. Wir haben Glück und bekommen einem Platz auf dem Camping, der unser erster in Norwegen war. Badestrand und Bistro inclusive. Was für eine Freude, alles schon ein bisschen zu kennen. 
Aufwachen. Baden ist das erste Wort, das gesprochen wird und in die Tat umgesetzt.
Wir bleiben zum ersten Mal für 2 Tage auf einem Platz, können gemütlich frühstücken, nachdenken, was noch gekocht werden kann. Die Jungs können stundenlang über Automodelle diskutieren und streiten, welcher Laden wie weit weg ist, zu Fuß oder mit dem Auto oder wie auch immer. Der Blog kommt auch wieder ins laufen … Sommerzeit, Badezeit, Zeit zum Träumen.

Ålesund und Trollstigen

Inzwischen sind zwei Tage vergangen. Mit Conni, Iciar und der üblichen Truppe habe wir in Alesund in Jugendstil geschwelgt. Drinnen (Museum) wie draußen – Stadtneubau nach einem verheerenden Brand 1900 mit internationaler und auch deutsch-kaiserlicher Wiederaufbauhilfe, haben die Architekten, darunter auch viele deutsche oder Architekten aus Norwegen, die in Deutschland studiert hatten, zu einem eigenen norwegischen Art Deco Stil gefunden, der in der Stadt noch heute charakteristisch ist. Die neuen Bauvorschriften verlangten danach übrigens in ganz Norwegen, die Innenstädte in Stein zu bauen, um solche verheerenden, Städte vollständig zerstörende Brände zu verhindern.
Der Bauboom verhalft der damals brach liegenden Bauwirtschaft zu ungeahntem Aufschwung, gab vielen Arbeit und führte zu ersten organisierten Gewerkschaften und Parteien.

Im Jugendstilmuseum

Wir haben den Trollstegen gemeistert, war nicht schwer, sogar mit Sonne. Leider keinen Kaffee! Vor der Eröffnung des Restaurants hat eine LAWINE DIE SCHEIBEN EINGEDRÜCKT Und die Eröffnung unmöglich gemacht. Allerdings ist nicht repariert worden und auch die Toiletten sind schäbig. Aber der Souvenirshops funktioniert. Das ist ja das Wichtigste.
Landschaft, Landschaft, schaurig schön, wild und unerschlossen – aber nur auf den ersten Blick. Überall sind kleine Wege zu erkennen, steinmännnchen aufeinander gestapelt – wir waren hier! – wir nicht!

Trollstigen von oben
Das Besucherzentrum
Aussichtsplattform


Ehe der Regen kommt, kochen wir an einer einsamen Stelle Kaffee, der Wind – String Wind- will die Stühle holen, aber wir setzen uns fest drauf. 
Später kommt der Regen wirklich.
Architektonische Highlights auf dem Weg nehmen wir alle mit, auch Gletscher, Gletscherseen, Wasserfälle, Gebirgsflora und hin und wieder ein Hase, wirklich Hase, nicht Kaninchen. Architektur vom Feinsten, das können die norwegischen Architekten wirklich gut und. Auch bestens eingepasst in die Landschaft. Holz, Glas und Corten-Stahl was sonst.

Reise in den Nordwesten

Nach drei Tagen wird der Fisch schlecht und wir ziehen weiter gegen Norden, dem Schnee entgegen, suchen Moschusochsen, die wir als kleine schwarze, bewegliche Punkte sehen. Auch das beste Zoom der Kamera bringt sie nicht näher. Der View-Point mit seinem architektonischen Highligt eines international bekannten Architekturbüros beeindruckt.

Auf dem Weg zum Dovrefjell
viewpoint SNØHETTA

Auf einem etwas lauten Camping gibt’s zum ersten Mal Nudeln … davon haben wir noch reichlich. Wir könnten noch etwas spenden… aber wer weiß schon was noch kommt.

(Große Wäsche gibt es auch – und sie wird sogar getrocknet)

Freitag besuchen wir einen alpinen Garten mit lauter Minipflanzen, die ganz was besonderes sind. Eine der Doktorandinnen hat ihn angelegt. Und muss ihn wohl auch pflegen, hoffentlich schafft sie es.

Nach einem Morgenkaffee im Kro – er macht um 11.00 Uhr gerade rechtzeitig auf – wieder Landschaft, Landschaft, Landschaft, bis Molde, dem wir nur einen kurzen Besuch abstatten. 

Bald sind wir in Ålesund, immer auf der Flucht vor dem drohenden schlechten Wetter, dem wir bislang entgehen konnten.